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Le Test des Fools de Turing

Sur ce blog, je partage habituellement mes pensées sur la technologie, en mettant un accent particulier sur la manière dont l'intelligence artificielle (IA) transforme notre quotidien. Cette semaine, j'aimerais partager avec vous une lecture qui m'a poussé à réfléchir sur les origines de l'IA. Récemment, au sein des Archives Nationales Britanniques, ont été découverts des documents susceptibles de changer notre compréhension des fondations de l'intelligence artificielle. Ces feuillets dactylographiés, jaunis par le temps, contiennent le récit d'une expérience, le test des fools, mené en 1949 par Alan Turing, une figure marquante de la cryptographie et un précurseur de l'IA.

Ces archives révèlent que, avant de proposer son célèbre test sur l'intelligence artificielle en 1950, Turing avait entrepris une démarche audacieuse: présenter à un groupe de lecteurs deux histoires courtes, l'une basée sur des faits réels, l'autre entièrement fabriquée par une IA. Le défi consistait à différencier la réalité de la fiction. Les résultats furent stupéfiants, montrant que tous les participants furent incapables de distinguer le vrai du faux, démontrant ainsi non seulement l'astuce de la machine, mais également la propension naturelle de l'humain à être trompé.

Si ces découvertes se confirment, elles pourraient redéfinir l'histoire de l'IA et l'origine du poisson d'avril, qui, au lieu d'être une simple coutume populaire remontant au XVIe siècle ou même à l'Antiquité, seraient le legs des expériences avant-gardistes de Turing. Le poisson d'avril (April Fools' Day en anglais) révèlerait alors une dimension profonde, reflétant une époque où l'humanité envisageait que les machines pourraient non seulement penser, mais aussi duper.

Cependant, l'examen de ces archives et l'extraction de leur essence exigent prudence et discernement. Bien que l'authenticité de ces documents soit alléchante, elle est nimbée d'un mystère épais. Cette incertitude, qui flotte entre découverte historique et possible canular, évoque curieusement l'esprit du 1er avril, où réalité et fiction se mêlent indistinctement.

Ce billet, inspiré par l'exploration de ces archives révélées, ne prétend pas apporter une réponse absolue, mais vise plutôt à encourager une immersion dans les profondeurs de notre passé, armé de curiosité et d'un esprit critique acéré. En revisitant l'origine de cette tradition avec Alan Turing comme compagnon inattendu, nous sommes invités à méditer sur la complexité de l'être humain, tour à tour génial et naïf.

Peut-être que la véritable leçon du poisson d'avril, possiblement enrichie par la contribution hypothétique de Turing, réside dans notre engouement pour le mystère et notre quête incessante de la vérité, même dans un univers où les apparences sont souvent trompeuses. Au final, cette exploration des archives enrichit notre patrimoine culturel, nous rappelant que la quête de vérité est parfois plus précieuse que la vérité elle-même.

Poisson d'avril! Pour découvrir comment j'ai procédé pour écrire ce billet avec l'aide de 8 intelligences artificielles génératives, je vous invite à lire mon article: 8 IA mêlent Vrai & Faux pour un poisson d'avril sur la co-rédaction avec l'IA.